Lors d'une interview aux micros de La Repubblica, Fabio Miretto a révélé quels étaient ses modèles. Il a également raconté certaines anecdotes en rapport avec la Juventus. Le jeune crack italien s'apprête à jouer une demi-finale d'Euro U19 face à l'Angleterre. Découvrez certaines de ses déclarations dans cet article.
Ses modèles :
"Kevin De Bruyne. J'aimerais jouer mon rôle comme lui. Même enfant, j'admirais Pavel Nedved. Il ne sait pas, je ne lui ai pas dit parce que ça m'embarrasserait. Peut-être qu'il l'a lu quelque part."
"Paul Pogba. Le modèle de nous tous les jeunes du secteur jeunesse qui sommes allés le voir au stade. Un jeune homme d'une classe immense qui s'est tout de suite imposé en équipe première. Si vous aimez le football, vous ne pouvez pas demander plus."
L'Euro U19 avec l'Italie :
"Pour grandir encore, c'est un tournoi international. Je n'ai jamais caché l'envie d'être là et je remercie la Juve de m'avoir permis d'y participer, même si ça se joue en dehors des fenêtres Fifa."
Sa famille fan de la Juventus :
"Juventina ? Depuis toujours. Et amatrice de sport. Ma mère en a pratiqué beaucoup, mon père est l'ancien footballeur classique qui au bar dit que, s'il avait eu la tête, il serait devenu champion. Et avec ses amis on se moque de lui. Je veux remercier mes parents pour une chose. Ils m'ont toujours soutenu, mais ce ne sont pas ces parents qui pensaient avoir le phénomène enfant, l'accablant de pressions inutiles et nuisibles. Ils m'ont appris la culture du travail dont je suis de plus en plus amoureux maintenant, grâce aussi à Michael Jordan. J'ai vu la docu-série que Netflix lui a dédiée. Ça me motive à le regarder."
La Juventus U23 :
"Ce n'est qu'en jouant que vous pourrez comprendre l'importance du projet des équipes B. C'est un cheminement progressif vers l'équipe première, lA Serie C pour intensité et climat n'a rien à voir avec la Primavera. Vous trouvez des adversaires plus gros, physiquement forts, des courbes pleines, des collègues espiègles. Pour survivre, il faut s'y habituer, mûrir, il n'y a pas d'alternative."
