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Mancini avoue avoir été supporter de la Juve

BELFAST, NORTHERN IRELAND - NOVEMBER 15: Head coach of Italy Roberto Mancini reacts during the 2022 FIFA World Cup Qualifier match between Northern Ireland and Italy at Windsor Park on November 15, 2021 in Belfast, Northern Ireland. (Photo by Claudio Villa/Getty Images)

Roberto Mancini, l'actuel sélectionneur de la Nazionale, s'est exprimé aux micros de SportWeek. Il évoque la Juventus et notamment le fait qu'il ait supporté le club dans le passé. Retrouvez ses déclarations dans cet article.

 

Ancien tifoso de la Juventus : 

"Les Marches sont une terre de la Juventus... J'ai soutenu la Juve, comme mon père. Mon mythe était Bettega. Mais c'était une passion d'enfance, quand on commence à jouer au foot, on soutient son équipe. Et maintenant, en tant qu'entraîneur, j'encourage tous les Italiens. Mais la Juve reste pour moi l'équipe la plus forte du championnat, malgré une situation qui ne leur permettra pas de remporter le Scudetto. Il y a des saisons où les choses tournent mal, en Italie, nous devons toujours chercher un coupable, alors que parfois il n'existe pas. C'est du sport et dans le sport les choses ne se passent pas toujours comme on le pense, malgré le travail. C'est aussi sa beauté, pour que tout le monde puisse gagner."

Qui va gagner le Scudetto ?

"Cela me semble un peu trop tôt, il manque tout le deuxième tour. L'Inter a très bien récupéré, mais je pense qu'il sera ouvert à au moins trois autres équipes : Milan, Atalanta et Naples. Et les engagements dans la coupe joueront leur rôle."

Manuel Locatelli et Giorgio Chiellini :

"Petit à petit j'ai connu tous les gars et ils étaient tous bons, les plus jeunes ont grandi très vite : Manuel Locatelli a fait un grand EURO, mais aussi Domenico Berardi, Matteo Pessina. Et les plus grands, pour ce qu'ils ont donné. J'ai toujours pris Giorgio Chiellini comme modèle, qui a 38 ans et qui est toujours un joueur important sur et en dehors du terrain, un excellent exemple pour les garçons. Il est difficile d'en choisir un. Aussi parce que je ne compte pas les 26, je compte les 50/60 qui ont alterné dans les qualifications : ils n'étaient pas en phase finale pour des raisons numériques, mais ils ont tous contribué à ramener à la maison le Championnat d'Europe. Et ils méritent un merci."

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