Le jeune latéral gauche de la Juventus Andrea Cambiaso était de passage sur le chaîne Twitch du club et il s'est exprimé. Cambiaso (23 ans) s'est prêté au jeu des questions et il en dit plus sur la saison mais aussi et surtout sa vie en générale. Un entretien pour en savoir plus sur le numéro 27 des Bianconeri qui a disputé 13 matchs de Serie A depuis le début de la saison pour 1 but et 1 passe décisive...
Parlez-nous du match vendredi soir contre Monza et les émotions après la victoire en toute fin de rencontre
"C'était incroyable. C'était déjà arrivé contre Vérone et c'était magnifique. Incroyable. Tout semblait calme, puis tout arrive. C'était incroyable, depuis le banc c'était... dommage pour ce but, l'action ne semblait pas si décisive. Ensuite, il y a eu le but de Gattone et c'était incroyable. Ce sont des victoires importantes, alors il faut un peu de chance, mais il faut chercher la chance. Ce sont deux victoires importantes et 6 points qu'on verra plus tard. Une prise de conscience différente ? Ce sont des victoires importantes, il faut aussi de la chance. Mais il faut chercher la chance. Ces deux matchs sont six points qui pèsent, à mon avis on les verra plus tard. Des victoires que nous recherchions. Dans D'après l'analyse, ce sont deux matchs différents, avec Vérone deux fois plus d'occasions que Monza. Nous avons fait une excellente première mi-temps, puis nous sommes tombés trop bas. La force de marquer n'était pas une chose anodine..."
Justement le match et le but contre Vérone restera-il dans les annales pour vous ?
"Eh! Du terrain vraiment, on aurait dit qu'il était rentré. Dans le doute , je l'ai lancé et c'est très bien. Sur le centre de Gatti, j'ai voulu fermer au deuxième poteau, j'ai vu le ballon rentrer sur Milik. Je fais la fête, puis le ballon reste et dans le doute je le remets. Gagner des matchs comme cela n'a pas de prix."
Quel est votre avis sur la saison en Serie A et le match contre Naples vendredi soir ?
"Personnellement et en équipe, ça se passe bien. Nous voulions être là pour nous battre. Je m'attends à un Naples dur à cuire, car ils viennent de connaître deux défaites contre l'Inter et le Real Madrid. Nous avons assez faim. Cette année, depuis que je suis ici, le Stade est toujours beau et c'est C'est super de jouer là-bas, j'ai ressenti de l'affection. Cela me plaît clairement, mais nous sur le terrain, du moins personnellement, je ressens beaucoup. Nous avons très faim. Cette année, depuis que je suis ici, c'est toujours agréable de jouer au Stade. J'ai ressenti de l'affection, oui. Cela me rend clairement heureux mais nous, personnellement du moins, ressentons beaucoup de choses sur le terrain."
Racontez-nous votre parcours ?
"Je n'étais jamais venu à la Juve, je suis arrivé et je suis parti en prêt. Ces messages ici : jusqu'à la fin, la Juve est comme une famille... Ils ressemblent plus à des clichés, mais en réalité quand on les vit et qu'on vient ici à Continassa, vous entendez ces choses tous les jours. Quand j'étais petit je suis né milieu de terrain, jusqu'aux moins de 17 ans c'était comme ça. Puis ma constitution physique a changé, j'ai dû courir et jambes et je suis passé à l'extérieur. Dans quel rôle suis-je le meilleur ? Difficile de répondre. Cinquième à gauche, peut-être, mais aussi à droite. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose. J'aime faire moi-même disponible, c'est ce que j'aime le plus. La passion m'a poussé davantage que quiconque. Je n'ai jamais eu de plan B, j'ai fini l'école pour mes parents. Mais je ne voulais pas perdre de temps, je voulais réussir parce que c'était ma plus grande passion. J'aime la compétition, peut-être trop. Chaque année, j'ai grimpé d'une catégorie, à l'exception de la Série B et de la Série D. J'ai grimpé dans toutes les catégories, ce fut un beau parcours que je recommande aux garçons. J'ai grimpé dans toutes les catégories, c'était un beau parcours que je recommande aux garçons. J'avais besoin de ce chemin, je suis fier et j'ai aussi eu de la chance. Il faut de la chance pour monter dans les catégories. Un long et beau parcours."
Comment êtes-vous arrivé à la Juventus ?
"Je me souviens bien de ce jour. Les mains sur la tête ? Plus ou moins ça. Je suis allé voir mes agents à Carrare. Il y a eu différents mouvements, puis je me souviens de ce jour où ils m'ont dit : ne t'inquiète pas, c'est fini. La Juve est arrivée "D'accord, ça suffit. Ça suffit. Quand la Juve est arrivée, je n'avais aucun doute : c'est le club le plus titré d'Italie, ils sont incroyables, et au cours de ces trois mois, ils ont pleinement confirmé ce que je pensais."
Le poids du maillot est-il trop important ?
"Question de responsabilité envers vos coéquipiers et vos fans. Il s'agit d'un maillot historique, porté par 7 vainqueurs du Ballon d'Or. Il explique en détail ce que signifie porter ce maillot. Et les attentes que les gens ont à votre égard. Par conséquent, les gens s'attendre à ce que les plus forts jouent là-bas. Cela crée des attentes, mais ce n'est qu'une bonne chose. Le prochain Ballon d'Or ? On est encore loin... Je pense que Mbappé est le plus décisif, je vous le dis. Lucas Vazquez était un grand : un match incroyable en Amérique, je me suis rapproché de lui parce que les joueurs aiment ça... c'est-à-dire qu'il y avait des joueurs d'un autre niveau, les grands noms ont été pris. Il joue depuis longtemps au Real Madrid et a toujours joué. Il a toujours été là, il s'est entraîné. C'était génial, échanger des maillots avec moi qui ne savais même pas qui j'étais, c'était génial."
Allegri, l'homme de la situation ?
Comment se passe la relation avec votre coach Massimiliano Allegri ?
"Je pense qu'il m'a bien pris, il a une expérience incroyable. Il a formé de grands champions et je peux apprendre. Je le fais, je pense que j'ai grandi. Je ne peux que continuer à le faire. La première fois ? En championnat, mais en direct toute l'année la dernière fois, quand je suis venu signer le transfert de Gênes. Je l'avais surpris dans les couloirs, avec Cherubini et Manna. Nous avions tous pris la décision de partir en prêt et il m'a dit : "On vous attend !". Tous mes amis étaient là. Les agents, ils font partie intégrante de moi, j'ai de la chance."
Quel est son discours ?
"Il demande à tout le monde, le championnat, les buts, les attaquants doivent marquer mais les buts des milieux de terrain sont très importants. Vous risquez de ne pas rapporter des points très importants. Il faut le faire. Notre défense est assez productive... Encaisser peu de buts ? Bien sûr, nous faisons également la différence au milieu de terrain."
Quelle est la relation avec vos coéquipiers ?
"Je connaissais Miretti et Fagioli des moins de 21 ans. Hans Nicolussi a été une surprise, nous nous étions vus plusieurs fois. Il est né en 2000, nous avons joué plusieurs fois contre lui et c'était ravi de le revoir là-bas. J'ai une excellente relation avec lui. Le plus gentil? Nous sommes un gentil groupe d'idiots. Le plus gentil est Manuel Locatelli, toujours prêt à plaisanter. Il est très gentleman. Il a toujours une blague prête, genre de comédie que j'aime."
Un mot sur votre capitaine Danilo
"Monsieur ! C'est comme ça qu'on l'appelle. Cela signifie 'monsieur'. Il est très élégant. J'aime plus 'cheval fou', lui aussi. Le sénateur ? Capitaine Danilo. Il nous dirige, un grand capitaine et une grande personne Un leader. Il ne parle pas beaucoup, mais il a toujours raison. Il ne se trompe jamais dans les mots. Même les attitudes, à l'entraînement et en match, sont vraiment importantes. Est-ce que c'était différent de ne pas l'avoir ? Quand un joueur manque, c'est évident qu'il manque. Chacun a son propre jeu, mais il a été remplacé plus que correctement. Comme je vous le disais, étant très intelligent, chaque jour à Continassa, souvent, il venait toujours aux matchs à l'extérieur. Il sait comment nous aider."
Qui est votre idole dans le football ?
"J'ai grandi avec Messi. Puis Dybala, je l'ai vu à Gênes. Il a marqué un but incroyable, de la droite et un éclair de la gauche. Superbe but. J'ai joué milieu de terrain et milieu offensif, j'ai idolâtré ces joueurs. Puis aujourd'hui Cancelo, je le connais très bien."
Pourquoi choisir le numéro 27 ?
"Je voulais le 20, mais Fabio l'a. Mon deuxième numéro est le 47, date de naissance de ma grand-mère. J'ai fait un mix."
Suivez-vous encore les performances de la Juventus Next Gen et qu'en pensez-vous ?
"Ils sont nombreux et ils sont bons aussi. Yildiz est vraiment fort. Et penser qu'il a 18 ans me donne des frissons. Nonge, Dean Huijsen qui sont avec nous. Mais aussi Mancini, Anghelé, ils sont beaucoup et bon. Belle chose. La Next Gen, à mon avis, manquait vraiment. Je l'ai vécu personnellement, il y a trop de distance et l'écart se creuse encore. Le NG est fondamental, il vous fait jouer au vrai football. Je l'ai joué et c'est du football à toutes fins utiles. Les points pèsent, là on comprend ce que veut dire jouer au football. J'avais besoin de ce chemin là, puis chacun a le sien mais j'en avais besoin. J'ai eu la chance de rejoindre Genoa de 9 à 17 ans."
Votre famille est-elle aussi votre socle ?
"La contribution que mes parents m'ont apportée est inexplicable. Ma mère était plus isolée dans le football, papa m'a donné cette mentalité, cette humilité et ce travail. Je le répète : la contribution qu'ils m'ont apportée est inexplicable Avoir une famille saine est essentiel à ces niveaux. Le comportement et les actions sont influencés par les personnes qui vous entourent. Celui qui vous enseigne les vrais principes de la vie est fondamental."
Aimez-vous la ville de Turin ?
"Belle ville, je l'aime beaucoup. La mer manque, mais je rentre bientôt à la maison. A part le froid qui a frappé. Étant habitué à Gênes, c'est un joli coup."
⚪️⚫️ La prima parte di stagione di Andrea #Cambiaso ne ha innalzato notevolmente il valore, così come l'importanza dentro la #Juventus 📈
L'interesse di diversi club di Serie A e di Premier League è un attestato del lavoro svolto fin qui👏
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— Riccardo Meloni (@RiccardoMeloni4) December 5, 2023
